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Dans cet article :

    Pourquoi ces erreurs reviennent (encore) si souvent ?

    Même dans des structures expérimentées, les erreurs dans les pièces écrites continuent de coûter cher. Pourquoi ? Parce que les outils utilisés ne sont pas conçus pour la complexité du métier :

    • Un CCTP modifié à la dernière minute qui n’est plus aligné avec le DPGF.
    • Une erreur de copie dans le DQE qui déséquilibre tout l’appel d’offres.
    • Des prix estimés oubliés ou mal ventilés par prestation.
    • Une mise en page non conforme qui décrédibilise la réponse.

    Ces erreurs ne sont pas le fruit de l’incompétence, mais d’un processus trop manuel, trop dispersé.

    À ce sujet, avez vous déjà lu notre guide intitulé : « Pourquoi Word et Excel freinent les BET dans leur croissance ?« .

    Les 6 erreurs les plus fréquentes en appel d’offres

    1. Incohérences entre CCTP, DPGF et DQE

    C’est l’erreur n°1 : les documents sont créés séparément, avec des versions qui divergent. Un article modifié dans le CCTP ne l’est pas dans le DPGF. Le lot plomberie a un poste en trop dans le DQE.

    Résultat : un dossier incomplet ou contradictoire = rejet immédiat.

    3. Numérotation et organisation incohérentes

    L’absence de plan de document standardisé génère des chapitres qui changent de place, des sous-chapitres mal reliés. La structure devient illisible, ce qui complique l’analyse côté entreprise.

     5. Des quantités erronées (ou non recalculées)

    Un changement de métré n’est pas répercuté dans le DPGF ? Cela fausse l’estimation. Et pire encore : certaines quantités issues d’anciens projets sont collées sans vérification, augmentant le risque de contentieux.

    2. Copier-coller d’anciens projets… avec les erreurs qui vont avec

    De nombreux BET reprennent des modèles anciens sans les nettoyer. Résultat : des références de rues ou des éléments obsolètes persistent. C’est une perte de crédibilité face au maître d’ouvrage.

    4. Des prix non alignés sur le marché ou sur les ratios attendus

    Sans bibliothèque de prix ni outil de calcul intégré, l’estimation repose souvent sur des hypothèses floues. Cela peut entraîner un sous-estimé qui plombe la rentabilité ou un surcoût qui écarte l’offre.

    6. Des délais de production trop longs, source de précipitation

    En fin de course, les retards s’accumulent. Et dans la précipitation, les erreurs se multiplient. Un oubli de version, un fichier non fusionné, une trame mal exportée… et tout peut s’effondrer.

    Ce que les BET performants font différemment

    Ils travaillent à partir de bibliothèques métiers structurées

    Créer sa propre bibliothèque CCTP/DQE/DPGF permet de capitaliser sur les projets passés, tout en garantissant la conformité et la cohérence.

    Ils utilisent des modèles de projet réutilisables

    Ces modèles prévoient les chapitres types, les formats, les styles, les structures d’articles. Un gain de temps et de rigueur dès le démarrage du dossier.

    Bibliothèques de CCTP

    Ils s’appuient sur des outils métiers qui connectent les documents

    Quand une modification du CCTP se répercute automatiquement dans le DPGF ou le DQE, le risque d’erreur diminue fortement.

    Un article très intéressant sur le même sujet est également à découvrir ici : Le secret pour des métrés automatiques et précis

    Ils suivent des formations orientées pratique

    Ceux qui produisent vite et bien ne sont pas juste bien outillés. Ils sont formés à l’optimisation des processus, à l’usage intelligent des fonctions clés (copie poussante, synchronisation, plan de document…).

    Une bonne bibliothèque CCTP = un bon dossier d’appel d’offres.

    Une erreur peut coûter un projet… mais aussi entacher votre image

    Ce que les BET sous-estiment souvent, ce n’est pas juste la perte d’un appel d’offres.
    C’est la perte de confiance du donneur d’ordre.

    • Un CCTP fouillis ou contradictoire donne une mauvaise impression.
    • Une trame DPGF mal pensée laisse croire que l’entreprise ne maîtrise pas ses outils.
    • Un estimatif incohérent donne une image d’amateurisme.

    À l’heure où les appels d’offres sont de plus en plus exigeants, les pièces écrites sont aussi des pièces de communication.

    Bonne pratiques à mettre en place dès maintenant

    Bonne pratique

    Résultat

    1. CCTP/DQE/DPGF séparés
    Lier les documents entre eux
    Zéro oubli
    2. Absence de structure
    Utiliser des modèles de projet
    Gain de temps
    3. Quantités floues
    Métrés connectés à vos articles
    Estimation fiable
    4. Copié-collé non relu
    Bibliothèque personnalisée
    Cohérence assurée
    5. Export manuel Word/Excel
    Prévisualisation directe / PDF natif
    Moins de bugs, meilleure image

    En résumé : rigueur = performance

    Pour éviter les erreurs coûteuses :

    • Standardisez vos modèles
    • Connectez vos documents
    • Structurez vos bibliothèques
    • Formez vos équipes aux outils adaptés

    Et surtout, ne laissez pas des détails techniques faire échouer des dossiers bien conçus sur le fond.

    Vous travaillez encore de façon artisanale, mais votre charge de travail est devenue industrielle ? Il est peut-être temps d’explorer des outils pensés pour vos enjeux, de vrais outils métiers adaptés à vos spécificités et pensés pour vous faire gagner en productivité !
    Nous accompagnons chaque mois des bureaux d’études et économistes dans cette transition, sans rupture. Et si on parlait de votre projet ?

     

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